Président de SFPI Group et désormais président de la Fédération des Industries Mécaniques, Henri Morel souhaite mettre à profit la réflexion stratégique engagée par la FIM et ses 24 syndicats pour définir une Organisation Professionnelle Mécanicienne du futur capable d’accompagner les entreprises dans leur transformation et développement. Henri Morel s’est donné pour mission de mettre cette nouvelle organisation sur les rails dans les 3 ans à venir : « Je veux que notre action collective apporte davantage de valeur ajoutée aux entreprises adhérentes et contribue ainsi au développement de leur activité et à leur renforcement dans le monde ».
Henri Morel, 62 ans, diplômé en Sciences politiques, en droit des affaires (Maîtrise) et d’HEC (MBA), débute sa carrière en 1983 en tant que président de la société Dupeux (thermique industrielle). Après avoir racheté la société Deny en 1984, il crée un an après SFPI Group (Safety for People and Industry) dont il est président directeur général. Il réunit au sein de ce groupe plusieurs entreprises : DOM Security (Serrures et Contrôle d’accès), MAC (Fermetures du bâtiment), Neu-JKF (Traitement de l’air dans les bâtiments industriels), MMD/Barriquand (Echangeurs thermiques pour le bâtiment et l’industrie). SFPI réalise 550 millions d’euros de chiffre d’affaires consolidé et emploie 3 858 collaborateurs. En complément de ses activités industrielles, Henri Morel a exercé́ les fonctions de vice-président trésorier de la FIM de 2018 à 2019 et de président de l’UNIQ, Union Nationale de l’Industrie de la Quincaillerie de 2014 à ce jour. De 2002 à 2005, il a également occupé la fonction de président de l’ARGE (European Federation of Associations of Lock and Builders Hardware Manufacturers) qui regroupe 12 Fédérations nationales.
Convaincu que les industries mécaniques ont un rôle majeur à jouer dans la transformation de toute l’industrie et donc de l’économie du pays, Henri Morel veut dédier son mandat à l’excellence : « Pour répondre aux grands défis du XXIème siècle, les industries mécaniques doivent bénéficier d’un cadre économique, fiscal et juridique favorable. Pour cela, elles ont besoin d’une fédération capable de collaborer avec tout son écosystème pour les représenter, les accompagner dans leur développement et les valoriser au plus haut niveau ».